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Une liste noire entre autres coups bas

Les ultra-indépendantistes catalans ont diffusé en ligne les noms des «gêneurs», dont celui d’un Vaudois.

06 oct. 2018, 00:01
Catalan police officers cordon off the street to stop pro independence demonstrators on their way to meet demonstrations by members and supporters of National Police and Guardia Civil, as coloured powder is seen on the ground after being thrown by protesters, in Barcelona on Saturday, Sept. 29, 2018. (AP Photo/Emilio Morenatti) Spain Catalonia

Aucune crampe en vue dans le bras de fer entre séparatistes et unionistes en Catalogne. Irréconciliables depuis le référendum sur l’indépendance, jugé illégal par la justice, il y a un an, les deux camps s’enferrent dans leurs positions. Tous les coups sont «permis» pour affaiblir l’adversaire: manœuvres d’intimidation, menaces, fake news, propagande destructrice... Sans parler des éruptions de violences, comme celles d’il y a une semaine, à Barcelone.

Les radicaux indépendantistes ont publié, il y a une semaine, les noms de juges, politiques, syndicalistes... Des personnalités qui auraient «limité la liberté d’expression ou attaqué verbalement ou physiquement l’indépendance catalane», prétend Anonymous Catalonia.

Une plainte pénale

Près de 80 identités ont ainsi été livrées en pâture, la semaine passée, sur le compte Twitter de ce collectif d’ultraséparatistes, fermé depuis. Parmi eux, Alberto Ruiz-Gallardón Jiménez, ancien ministre de la Justice, le magistrat de Valladolid Florencio Marcos ou José Manuel Opazo, un...

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