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Un ultime sursis pour le Royaume-Uni

Ce soir, les leaders des vingt-sept Etats membres de l’Union européenne donneront probablement un mois supplémentaire à leurs négociateurs pour trouver un «deal» avec Londres. Pas simple.

17 oct. 2018, 00:01
European Commission President Jean-Claude Juncker, European Council President Donald Tusk and Austria's Chancellor Sebastian Kurz, from left, arrive to a Tripartite Social Summit roundtable at the European Council headquarters in Brussels, Tuesday, Oct. 16, 2018. (AP Photo/Francisco Seco) Belgium Brexit

Les chefs d’Etat ou de gouvernement feront le point, ce soir, sur les négociations qui entraîneront le Royaume-Uni vers sa sortie de l’Union européenne (UE), le 29 mars 2019 à minuit. Ce sommet aurait dû être décisif, il ne le sera pas: il y a fort à parier qu’à moins de prendre le risque de provoquer un «Brexit dur», sans accord entre Londres et l’UE, une vision cauchemardesque pour tout le monde, ils décideront de se retrouver le week-end des 17 et 18 novembre pour une réunion de la dernière chance. C’est que de difficiles compromis doivent encore être trouvés.

1. Sursis

«On a beaucoup travaillé ces tout derniers jours pour trouver un accord sur l’objectif d’un retrait ordonné du Royaume-Uni» de l’UE, a déclaré hier après-midi le chef négociateur de l’Union, le Français Michel Barnier, avant de faire le point de la situation avec les ministres des Affaires...

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