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Un contrôle dur des frontières qui ne déplaît pas à tous

Matteo Salvini, le nouveau ministre de l’Intérieur, veut durcir les lois contre l’immigration clandestine. Une solution qui pourrait, notamment, être envisagée par la France.

05 juin 2018, 00:01
African migrants who were rescued from the Mediterranean Sea north of Libyan coast, look from the deck as the Aquarius vessel of SOS Mediterranee and MSF (Doctors Without Borders) NGOs, approaches the port of Pozzallo on Sicily, Italy, Friday, Sept. 1, 2017. (AP Photo/Darko Bandic) EU LIBYA MIGRANTS

L’Italie ne participera pas, aujourd’hui, à la réunion des ministres de l’Intérieur des membres de l’Union européenne qui se tiendra au Luxembourg pour discuter du dossier migration. Le gouvernement italien doit se soumettre au rite de la question de confiance au Sénat cet après-midi. Le nouveau ministre de l’Intérieur et patron de la Ligue, Matteo Salvini, ne pourra donc pas quitter Rome.

Une délégation italienne doit, toutefois, assister à cette réunion durant laquelle les partenaires européens tenteront de trouver un accord informel sur la réforme des accords de Dublin, qui encadrent les demandes d’asile dans l’Union. L’idée est d’instaurer un système de quotas pour répartir les candidats au statut de réfugiés en Europe sur la base de critères objectifs, comme le regroupement familial.

Le nouveau gouvernement veut, surtout, engager une discussion sur le contrôle des frontières. «Il faut un peu de bon sens, l’histoire des débarquements et de l’accueil...

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