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Roumanie mal barrée

Bucarest a pris ce 1er janvier la présidence tournante de l’Union européenne. Certains ne la jugent pas prête.

03 janv. 2019, 00:01
In this Sunday, Dec. 30, 2018, photo a person rides a bicycle by a yard decorated with European Union and Romanian flags in Tartasesti, Romania, two days before the country will take over the EU's rotating presidency. Romanian officials have slammed European Union officials for treating it as "a second-rate" country as it prepares to take over the EU's rotating presidency. (AP Photo/Vadim Ghirda) Romania EU Presidency

C’est dans un climat délétère que la Roumanie a pris, le 1er janvier, la présidence tournante de l’Union européenne, pour la première fois depuis son adhésion à l’UE, en 2007. Elle a succédé à l’Autriche; la Finlande la suivra, le 1er juillet.

«Nous sommes déterminés à démontrer que la Roumanie est un partenaire fiable en vue de consolider le projet européen et d’assurer la cohésion» du club communautaire, a déclaré, mardi, la première ministre roumaine, Viorica Dancila.

Son gouvernement, que domine le Parti social-démocrate de centre gauche (PSD) aura fort à faire. Non seulement parce qu’il sera confronté à de grands défis, mais également parce qu’il suscite une grande méfiance, à Bruxelles.

Le budget, gros enjeu

Alors que pointent à l’horizon les élections européennes du 26 mai, qui risquent de faire le lit des formations populo-nationalistes de tout poil, Bucarest devra s’évertuer à trouver – enfin – un compromis...

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