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New York aurait gonflé le prix des licences de taxi de 810 millions

La procureure de l’Etat de New York met la pression sur la Ville. Proche du million en 2014, la valeur des licences des «cabs» était bien au-dessus de la normale.

22 févr. 2020, 00:01
ZU DEN BERICHTEN DER SONNTAGSPRESSE UEBER DIE CREDIT SUISSE UND DIE SUCHE NACH LOESUNGEN IM STEUERSTREIT MIT DER USA STELLEN WIR IHNEN AM SONNTAG, 4. MAI 2014, FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG  - A pedestrian and a taxi in front of the building of Credit Suisse bank in New York City, USA, pictured on August 7, 2009. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)

Fussgaengerin und Taxi vor dem Gebaeude der Credit Suisse Bank in New York City, USA, aufgenommen am 7. August 2009. (KEYSTONE/Martin Ruetschi) SCHWEIZ USA CREDIT SUISSE CS

La procureure de l’Etat de New York a réclamé, jeudi, à la ville de New York, 810 millions de dollars. La somme doit servir à dédommager des chauffeurs de taxi victimes, selon elle, du gonflement artificiel des prix des licences par la municipalité.

La procureure Letitia James reproche à la ville de New York d’avoir vendu, entre 2004 et 2017, les licences par le biais d’un système d’enchères qui a porté leur prix à des niveaux injustifiés. A partir de 2011, la municipalité a maintenu ce mécanisme en l’état, alors qu’une étude interne avait montré, selon la procureure, que le prix des licences était supérieur à leur véritable valeur économique. Entre 2004 et 2014, le prix moyen d’une licence aux enchères est passé de 283 300 à 965 000 dollars, selon les chiffres publiés par les services de Letitia James. Il s’est ensuite effondré, sous l’effet de l’arrivée massive des...

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