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Marine Le Pen face aux limites de la «dédiabolisation»

10 avr. 2017, 23:37
/ Màj. le 11 avr. 2017 à 00:01
epa05890776 Marine Le Pen, French National Front (FN) political party leader and candidate for French 2017 presidential election, addresses supporters during a political rally in in Monswiller, France, 05 April 2017.  EPA/PATRICK SEEGER FRANCE 2017 FRENCH PRESIDENTIAL ELECTIONS

«On ne peut plus douter» que Marine Le Pen soit d’extrême droite, a déclaré Benoît Hamon au lendemain de propos polémiques de la cheffe du FN sur la rafle du Vél’ d’Hiv. En ouvrant ce débat, l’intéressée a réveillé le souvenir du Front national de son père. La France n’est pas responsable de la rafle du Vél’ d’Hiv, au cours de laquelle plus de 13 000 juifs furent arrêtés en 1942, a estimé dimanche Marine Le Pen. Le candidat socialiste à la présidentielle a critiqué son opposante frontiste qui «n’aime pas l’Histoire». «Le président de la République, Jacques Chirac, a fait un choix important, en rupture avec ce qui avait pu être dit auparavant. Moi je l’approuve et c’est le sens de l’Histoire», a-t-il poursuivi. Pour le ministre français des Affaires étrangères, Marine Le Pen «vient à nouveau de montrer son vrai visage». «Pour Madame Le Pen comme...

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