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Le terrorisme s’immisce dans la campagne

Après l’attentat du London Bridge, Boris Johnson a promis un durcissement des peines contre les criminels.

02 déc. 2019, 00:01
Flowers and a pictures are left in memory of Jack Merritt, the first person named as a victim of Friday's terror attack. A man wearing a fake suicide vest was subdued by bystanders as he went on a knife rampage killing two people and wounding others before being shot dead by police on Friday. (AP Photo/Alberto Pezzali) Britain London Attack

Dans une campagne électorale jusqu’ici dominée par deux sujets, le Brexit et le NHS (le service public de santé), le terrorisme et la sécurité ont fait une tragique irruption. L’attentat du London Bridge, qui a fait deux victimes – un jeune homme et une femme, tous deux liés à l’Université de Cambridge – et a été revendiqué, samedi, par le groupe Etat islamique, a rappelé aux Britanniques les heures sombres des attaques de 2017. Il a aussi suscité de profondes interrogations et une vive polémique politique.

Le choc est amplifié par le profil du tueur, un militant islamiste déjà bien identifié, condamné, emprisonné, puis relâché de manière anticipée. «Je déplore totalement que cet homme ait pu être dans la rue», a déclaré Boris Johnson, hier, à la BBC, «C’est absolument révoltant, et nous allons prendre des mesures.» Le terroriste avait en effet un passif aussi lourd que connu. Originaire...

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