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«Le soft power, c’est terminé»

La tension ne baisse pas entre Londres et Moscou, après l’annonce des sanctions britanniques.

16 mars 2018, 00:01
ARCHIVBILD --- ZU DEN PRAESIDENTSCHAFTSWAHLEN IN RUSSLAND AM SONNTAG, 18. MAERZ 2018, STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG --- Russian President Vladimir Putin attends the annual Volunteer of Russia 2017 award ceremony at the Megasport Sport Palace in Moscow, Russia, Wednesday, Dec. 6, 2017. Putin has moved an inch closer to announcing his intention to seek re-election in the next March's vote, saying he would weigh the move based on public support.(Alexei Druzhinin, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP) RUSSLAND WAHLEN PRAESIDENT

Le Kremlin a promis hier une riposte rapide après la décision «absolument irresponsable» de Londres d’expulser des diplomates russes pour le sanctionner après l’empoisonnement de l’ex-agent double russe Sergueï Skripal et de sa fille en Angleterre. Comme les Etats-Unis la veille, la France a indiqué qu’elle «partage le constat du Royaume-Uni» sur la responsabilité de Moscou. Le président Emmanuel Macron a indiqué qu’il annoncerait des mesures «dans les prochains jours».

A noter toutefois que la crise actuelle permet aussi aux deux leaders en litige, Theresa May et Vladimir Poutine, de resserrer les rangs dans leur camp. L’analyse d’Arnaud Dubien, politologue, chercheur associé à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques) et directeur de l’Observatoire franco-russe à Paris.

Selon les experts occidentaux, tout indique que l’empoisonnement de l’ex-agent double russe Sergueï Skripal a été commandité au plus haut niveau. Quel message le Kremlin a-t-il voulu lancer?

Il faut rester prudent,...

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