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Le rôle central du président israélien, Reuven Rivlin

Figure historique du Likoud, le chef de l’Etat va devoir désigner le candidat le mieux placé pour former le prochain gouvernement.

18 sept. 2019, 00:01
Israel's President Reuven Rivlin reviews a military guard of honor during a welcoming ceremony before a meeting with Cyprus' president Nicos Anastasiades at the presidential palace in divided capital Nicosia, Cyprus, on Tuesday, Feb. 12, 2019. Rivlin is in Cyprus for one-day official visit for talks. (AP Photo/Petros Karadjias) CYPRUS ISRAEL

Bibi or not Bibi? Les électeurs israéliens étaient confrontés, hier, pour la deuxième fois en cinq mois, au choix de renouveler leur confiance à Benyamin Netanyahou ou de mettre un terme à sa carrière politique. Des options compliquées par le jeu des alliances à la Knesset, le Parlement, qui ouvre un éventail de possibilités mais peut aussi conduire à une impasse sans vainqueur ni vaincu, comme au lendemain des législatives d’avril. Le Likoud, le parti de droite du premier ministre, qui est aux affaires depuis dix ans, et la formation centriste Kahol Lavan, Bleu et blanc, de l’ex-chef d’état-major Benny Gantz, avaient à l’époque chacun obtenu 35 sièges sur les 120.

Le président israélien Reuven Rivlin avait mandaté Benyamin Netanyahou pour former une coalition, car il pouvait, sur le papier du moins, en s’alliant aux sionistes religieux, aux ultraorthodoxes et aux nationalistes d’Avigdor Lieberman, avoir une majorité. Benny Gantz...

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