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Le gouvernement suspecte des origines criminelles

Les dirigeants grecs ont saisi la justice pour les feux qui ont fait au moins 82 morts dans la région d’Athènes.

28 juil. 2018, 00:01
epa06914199 Greek firefighters search for missing people, as Fotini Matrakidis holds flowers next to the point where a six month baby died, following a deadly forest fire in Mati, a northeast suburb of Athens, Greece, 27 July 2018. The confirmed death toll from forest fires that raged through seaside resorts near the Greek capital Athens has increased to 87. According to an announcement by Fire Brigade, the search for more missing persons in the burnt out buildings in eastern Attica is continuing.  EPA/YANNIS KOLESIDIS GREECE WILDFIRE AFTERMATH

Le gouvernement grec a saisi la justice d’un «élément sérieux» pouvant indiquer que «des actes criminels» sont à l’origine de l’incendie meurtrier de lundi à l’est d’Athènes, a déclaré, hier, le ministre adjoint à la Protection du citoyen, Nikos Toskas. «Pour le feu qui a commencé au mont Pendeli» et s’est propagé à Mati, la ville où se trouvaient la grande majorité des 82 victimes, «on se pose de nombreuses questions et je ne vous cache pas qu’un élément sérieux nous a conduit à ouvrir une enquête», a indiqué Nikos Toskas lors d’une conférence de presse.

Témoignages concordants

Pour un autre incendie violent à Kineta, qui n’a pas fait de victime, Nikos Kostas a également parlé de «sérieux éléments» laissant penser à un incendie volontaire. Le ministre adjoint a également mentionné «des témoignages» en ce sens, sans livrer davantage de détails. Les officiels, carte satellitaire à l’appui, ont aussi fait...

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