La présidente sud-coréenne Park Geun-hye a fait part de ses «regrets», hier, dans le vaste scandale de corruption qui a provoqué sa destitution. Au centre du scandale qui a précipité des millions de personnes dans les rues, se trouve sa confidente. Elle est accusée de s’être servie de son influence pour extorquer d’énormes sommes aux conglomérats sud-coréens et se mêler des affaires de l’Etat. La Cour constitutionnelle doit décider d’entériner ou non la destitution. Elle tenait sa dernière audience hier. Une décision est attendue en mars. ATS
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