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L’Elysée cherche une issue

Les premières auditions de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale française n’ont pas permis de lever toutes les zones d’ombre, et la pression s’accentue sur la présidence.

24 juil. 2018, 00:01
epa06906477 French president Emmanuel Macron (C) shakes hands as the Elysee senior security officer Alexandre Benalla (R) looks on during a visit at the 55th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, France, 24 February 2018 (issued on 23 July 2018). A video has been released on 19 July 2018 allegedly showing Alexandre Benalla, the French President Emmanuel Macron's deputy chief of staff, wearing a riot helmet and police uniform while attacking protesters during street demonstrations on 01 May 2018.  EPA/LUDOVIC MARIN / POOL MAXPPP OUT FRANCE GOVERNMENT ELYSEE SECURITY OFFICER SCANDAL

nouvelle journée riche en événements dans le cadre du scandale Benalla. Un feuilleton peu avare en rebondissements, dont la scène principale se situait, hier, sous les ors de l’Assemblée nationale. Plus précisément dans la salle 6242 du Palais Bourbon. C’est là que les députés de la Commission des Lois – transformée pour l’occasion en commission d’enquête – ont entendu deux acteurs clés de l’affaire: le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et le préfet de police de Paris, Michel Delpuech.

De ces auditions, les députés présents attendaient qu’elles lèvent le voile sur un certain nombre de zones d’ombre de l’affaire: qui exactement a accrédité Alexandre Benalla pour venir en ce 1er mai place de la Contrescarpe, où a il a finalement fait le coup de poing sur des manifestants? Pourquoi ni l’Elysée, ni le ministère de l’Intérieur, ni la préfecture de Police, qui ont tous eu rapidement connaissance de la...

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