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L’avocat d’Oriol Junqueras balaye l’idée de rébellion

12 juin 2019, 00:01
Catalonia regional President Carles Puigdemont, next to vice-president Oriol Junqueras, left, signs the decree officially calling for the vote on a binding independence referendum, following a plenary session at the Parliament of Catalonia in Barcelona, Spain, Wednesday, Sept. 6, 2017. Catalan pro-independence lawmakers passed a bill that paves the way for a controversial vote on the northeastern region's independence from Spain, despite fierce resistance from the political opposition and central authorities. (AP Photo/Manu Fernandez) Spain Catalonia

L’avocat de l’ex-vice-président catalan Oriol Junqueras, principal accusé au procès des indépendantistes à Madrid, a assuré hier que son client n’avait pas commis de délit de rébellion, mais seulement un possible délit de désobéissance, qui n’implique pas de prison.

Le procès historique de douze indépendantistes catalans pour leur implication dans la tentative de sécession de la Catalogne d’octobre 2017 doit s’achever aujourd’hui, après quatre mois d’audience.

Oriol Junqueras, vice-président de la région au moment des faits, y est le principal accusé. Le parquet a requis à son encontre 25 ans de prison pour détournement de fonds et rébellion, un délit controversé impliquant un soulèvement violent.

S’exprimant lors de l’avant-dernière audience du procès, Me Andreu Van den Eynde – qui défend Oriol Junqueras et l’ex- «ministre» catalan des Affaires étrangères Raul Romeva – s’est efforcé de démonter la thèse du parquet, en lui reprochant de «confondre la désobéissance avec la rébellion».

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