Bernie Sanders a mis fin à sa campagne présidentielle, hier, laissant l’investiture démocrate à Joe Biden pour affronter Donald Trump en novembre prochain. Le sénateur du Vermont a annoncé son retrait depuis sa résidence, où il s’est retiré, depuis que les primaires, ont été suspendues par la crise du coronavirus, à la mi-mars. «Ça a été une décision difficile et pénible», a-t-il dit, assurant ses partisans qu’ils avaient eu «un impact profond sur notre nation».
En février, Bernie Sanders avait été, pendant quelque temps, le favori des primaires, après un bon score dans l’Iowa et des victoires dans le New Hampshire et le Nevada. Mais après ces succès initiaux, il avait été rattrapé, puis dépassé par Joe Biden, dont l’avance était devenue trop importante pour qu’il puisse espérer se maintenir dans la course.
Le centrisme l’emporte
Ce retrait attendu met fin à une candidature des plus singulières. Considéré comme...