Mais ce non-paiement était attendu depuis plusieurs jours par les créanciers et les marchés compte tenu des relations actuelles tendues entre le gouvernement grec et l'UE et le FMI. Par conséquent, les réactions devraient être mesurées.
Lundi soir, le Premier ministre avait déjà prévenu qu'Athènes n'aurait pas de moyen pour payer le FMI en raison de "l'asphyxie" financière dans laquelle se trouve Athènes après le refus des créanciers de prolonger le programme d'aide UE et FMI d'ici fin juillet après le déroulement du referendum. Ce programme arrive à échéance également le 30 juin.