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Grande-Bretagne: il tue son bébé juste après son adoption et écope de la prison à vie

Un Britannique a tué sa fille de 18 mois moins de deux semaines après l'avoir adoptée. Il l'avait violemment agrippée et secouée. L'homme a été condamné à la prison à vie ce mardi.

07 nov. 2017, 17:48
L'homme avait quitté son emploi pour s'occuper à plein temps de sa fille adoptive, placée en septembre 2015 auprès de lui et son mari, qui continuait à travailler. (illustration)

Un ancien instructeur de fitness reconnu coupable au Pays de Galles du meurtre de sa fille de 18 mois, moins de deux semaines après l'avoir officiellement adoptée, a été condamné mardi à la prison à vie, dont 18 ans incompressibles.

L'homme, 31 ans, avait été reconnu coupable mardi, par la cour de Cardiff, d'avoir violemment agrippé et secoué la petite fille, près de deux semaines après l'adoption formelle de l'enfant qui était sous sa garde depuis huit mois. Elle était décédée quatre jours plus tard.

Une autopsie a montré qu'elle avait souffert d'une triple hémorragie du cerveau, d'une hémorragie rétinienne, qu'elle avait eu le crâne brisé et plusieurs côtes cassées. "Sa tête a été frappée contre une surface dure, ou bien un objet dur a été utilisé pour la frapper à la tête", a déclaré le procureur Paul Lewis durant le procès, qui a duré plus de quatre semaines.

 

 

L'homme avait quitté son emploi pour s'occuper à plein temps de sa fille adoptive, placée en septembre 2015 auprès de lui et son mari, qui continuait à travailler. Mais l'accusé avait du mal à s'occuper d'elle et se plaignait du fait qu'elle était une enfant difficile. Dans des SMS, il l'avait qualifiée de "tarée" et "Satan habillé en gigoteuse". Des voisins l'avaient aussi entendu crier des injures envers l'enfant.

Avant sa mort, elle avait déjà subi plusieurs blessures quand elle se trouvait seule avec l'accusé, dont une jambe cassée en novembre 2015, des hématomes à la tête en décembre et janvier 2016. En mars, elle avait été hospitalisée pour ce qui avait été présenté comme une chute dans les escaliers.

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