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Début du procès en appel du «Boucher des Balkans»

L’ancien chef militaire des Serbes de Bosnie, Ratko Mladic, se retrouve devant ses juges, à La Haye.

26 août 2020, 00:01
epa08624152 A handout photo made available by the UN International Residual Mechanism for Criminal Tribunals (UN-IRMCT) shows Bosnian Serb former general Ratko Mladic (C) arriving for his appeal against his sentence at the UN tribunal in The, Hague, the Netherlands, 25 August 2020. Mladic was found guilty by the International Criminal Tribunal (ICT) of genocide and other wartime crimes under a first-instance verdict in 2017 and sentenced to life. EPA/Leslie Hondebrink-Hermer/UN-IRMCT / HANDOUT HANDOUT EDITORIAL USE ONLY/NO SALES

Les avocats de l’ancien chef militaire des Serbes de Bosnie Ratko Mladic, dont le procès en appel s’est ouvert hier, devant la justice internationale, à La Haye, ont estimé qu’il pourrait être victime d’un «déni de justice», en raison de son état de santé.

Condamné en première instance à la prison à vie, notamment pour son rôle dans le génocide de Srebrenica, Ratko Mladic a des problèmes de santé et de mémoire, ont affirmé ses conseillers. Initialement prévues en mars, les audiences ont été reportées une première fois car Mladic, 78 ans, a subi une opération du côlon, et une seconde fois à cause de la pandémie de Covid-19.

Il est apparu hier matin, frêle silhouette portant un masque qu’il a ensuite ôté, et s’est plaint d’avoir du mal à suivre les travaux du tribunal dans ses écouteurs. «Cette audience est inappropriée et fait courir le risque d’un déni de...

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