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Brexit: calme sur la Manche, mais nuages en Ecosse

Si le trafic avec le continent reste fluide depuis le 1er janvier, les Ecossais, proeuropéens, jurent d’acquérir leur indépendance.

04 janv. 2021, 00:01
/ Màj. le 04 janv. 2021 à 07:10
Le 1er janvier, à Londres, la statue de Winston Churchill a entendu Big Ben, qui a sonné la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

Le temps a été calme pour les premiers bords tirés par le Royaume-Uni «au grand large». La nouvelle vie du pays hors du club européen a commencé sans tempête logistique aux frontières ni perturbations majeures. L’accord signé avec l’Union européenne (UE), le 24 décembre, y est pour beaucoup et les mesures prises en amont ont fait le reste. Un divorce en douceur, donc.

Mais pour Boris Johnson, le premier ministre, le ciel n’en reste pas moins couvert, avec la montée en puissance de l’indépendantisme écossais, une érosion annoncée de sa base politique et la gestion de la crise du coronavirus alors que l’épidémie flambe dans le royaume.

Stocks constitués

Pour le premier ministre, rien ne peut assombrir ce «moment incroyable». «Nous avons notre liberté entre nos mains et il nous revient d’en tirer le meilleur parti», a-t-il martelé, assurant que le Royaume-Uni serait «ouvert, généreux, tourné vers l’extérieur, internationaliste...

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