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A Birmingham, Boris, Jeremy, Sajid, Jacob et les autres...

Le congrès du Parti conservateur britannique a tourné à un concours de beauté pour la succession de Theresa May.

03 oct. 2018, 00:01
epa07064009 Britain's Prime Minister Theresa May (R) arrives at the conference centre in the third day of the Conservative Party Conference in Birmingham, Britain, 02 October 2018. The Conference runs from 30 September to 03 October 2018.  EPA/NEIL HALL BRITAIN CONSERVATIVE CONFERENCE

Hier, 1500 militants conservateurs ont fait la queue, deux heures pour certains, à Birmingham, pour entendre Boris Johnson les appeler à «soutenir Theresa May de la meilleure façon possible». A savoir, en la poussant à abandonner ses propositions si décriées de «Chequers» pour le Brexit, un partenariat douanier rapproché avec l’UE. Un soutien, certes, plus qu’ambigu du ministre qui a claqué la porte du gouvernement en protestation contre ce projet. Mais ce n’était ni l’appel à la renverser, ni le plan de bataille concret espéré par certains.

La première ministre et ses conseillers ont pu pousser un «ouf!» de soulagement, tant ce discours de défiance était redouté, à la veille de sa propre adresse de clôture du congrès annuel de son parti, aujourd’hui. Les enjeux sont immenses. Il y a un an, on ne donnait pas cher de sa peau. Parti rongé par les divisions, manque de vision sur...

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