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Un prix littéraire pour Alain Bagnoud

L’auteur d’origine valaisanne a séduit le jury du Prix Edouard Rod qui a choisi de primer son dernier roman «La Vie suprême» inspiré de Farinet.

25 août 2020, 17:50
Alain Bagnoud a d'abord écrit pour le théâtre puis comme romancier.

Avec «La Vie suprême» qui vient juste de sortir de presse aux Editions de l’Aire, Alain Bagnoud se voit décerner le Prix Edouard Rod attribué par la Fondation l’Estrée. Ce roman historique plonge le lecteur dans le passé valaisan du natif d’Ollon aujourd’hui établi à Genève.

L’auteur – enseignant de français à la ville – y revisite en 159 pages le mythe de Farinet, montrant une face moins glorieuse du célèbre faux-monnayeur souvent assimilé à un Robin des Bois. L’action se déroule dans un village de montagne en 1870, un village bouleversé par l’apparition du Valdôtain. «La Vie suprême est autant la reconstitution d’une époque que l’analyse d’un mythe et l’histoire d’une libération», écrit la maison d’édition à propos de son nouveau titre primé.

Fondé en 1996 sous l’impulsion de Jacques Chessex, le prix Edouard Rod récompense chaque année le travail de qualité d’écrivains d’origine suisse. Jacques Roman, Georges Haldas, Alexandre Voisard ou encore Bernadette Richard figurent notamment au palmarès.

La Vie suprême, Alain Bagnoud, 159 pages, éditions de l’Aire

 

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