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Marc Aymon: de l’enfer plastique au paradis corallien

Le chanteur valaisan revient d’une mission aux Philippines avec la fondation Race For Water dont il est ambassadeur. Un voyage qui passe de l’effroi à l’espoir grâce à un îlot d’innovation né d'une utopie.

13 nov. 2019, 20:00
Durant vingt jours, Marc Aymon a navigué avec l'équipage de Race For Water. Un périple dont on revient forcément changé.

Il y avait eu l’île de Pâques il y a une année. Une première mission pour la fondation Race For Water qui œuvre à la dépollution des océans des matières en plastique qui s’y accumulent et finissent par joncher les plages de nombreux pays du sud. Marc Aymon est reparti cette année durant vingt jours aux Philippines pour y prendre la mesure du désastre sur les «landfills» de l’île de Palawan, ces décharges à ciel ouvert et à perte de vue. «La déchetterie traite 300 tonnes de déchets solides par jour... C’est très impressionnant. Et également de voir combien les gens s’engagent. Les Philippines sont le troisième pays le plus concerné par la pollution plastique et Palawan est une île ultratouristique. Cela dit, les gens y organisent des initiatives citoyennes, nettoyage des plages, revalorisation du plastique en le transformant en meubles...»

Le rôle de Marc Aymon, visiter les lieux, témoigner...

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