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«Mais mec!», des tranches de vie entre absurde et poésie

Guillaume Darbellay a conçu une saison de formats courts mis en ligne durant les Fêtes. Une jolie réussite à découvrir en ligne dès à présent.

27 déc. 2019, 17:21
Le comédien Térence Carron, Guillaume Darbellay et le preneur de son Nathan Ouellet.

«Je suis vraiment un enfant du web. C’est sur internet que je me suis construit mon rapport à la fiction», explique le jeune Guillaume Darbellay quand il remonte à la genèse de sa websérie «Mais mec!». Il y a une semaine, il mettait en ligne sur YouTube cinq épisodes, après une projection publique de toute la saison dans un cinéma de Martigny. Et depuis, les vues grimpent. «Nous en sommes à 15 000 en tout, en une semaine, c’est pas mal du tout.»

Le sens du rythme

C’est bien, en effet, mais surtout, «Mais mec!» affirme une écriture aiguisée et un très bon sens du rythme, dimension vitale pour ce genre de capsule. «Bon, je n’ose pas me ranger au niveau de ces créateurs-là, mais c’est vrai que «Bref», «Golden Moustache», «Studio Bagel» ou «Key and Peele» aux Etats-Unis ont été des influences majeures pour moi.»

Dans l’aspiration de ces...

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