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Magazine «Terroirs»: la Semaine du goût au Dojo de Saillon

Pour la Semaine du goût, du 13 au 23 septembre, le Swiss Dojo de Saillon a mis sur pied un programme où le raffinement se mêle au plaisir gustatif. Expositions, conférences et ateliers de dégustation, mais aussi une master class avec de prestigieux intervenants. Un dossier à lire dans notre magazine «Terroirs» de septembre 2018.

10 sept. 2018, 07:00
L’art du geste. Le Swiss Dojo célèbre l’excellence. La gastronomie n’échappe à cette règle.

Si je vous dis, «SwissDojo de Saillon», vous pensez bien sûr aux arts martiaux japonais. Mais pourtant, cet espace dépasse largement les techniques de combats asiatiques. C’est en réalité un centre d’arts corporels et de culture. Si SwissDojo dispense divers cours d’arts martiaux japonais et chinois (karaté shotokan, judo, aïkido, jiu-jitsu, kyudo, tai-chi, etc.), il a également développé des pratiques plus méditatives où le yoga figure en bonne place et, surtout, le centre accueille des expositions, des conférences, des séminaires ou encore des ateliers. C’est ici que le goût entre en jeu. Durant la Semaine du goût, Swiss Dojo s’est allié à des partenaires renommés afin de mettre sur pied une semaine dédiée à «l’Excellence gustative». Quelques jours où le raffinement côtoiera le plaisir des sens. «La recherche de l’excellence et l’art du geste nous animent depuis la création du Swiss Dojo, il y a une vingtaine d’années», explique Guy Udriot, fondateur et directeur du centre. «Nous voulons voir un art de vivre dans tous les aspects du quotidien. C’est ce qui a motivé l’envie de créer une rencontre entre le thé, le vin et l’art culinaire. Nous voulons mettre en évidence la nécessité du geste qui magnifie la matière.» Car sans l’art du geste rien n’est possible. «Peu importe l’activité, le geste est l’expression de la matérialisation et l’art du geste se rapproche d’une certaine spiritualité.» Ou quand le savoir-faire se fait l’écho du savoir-être… 

Une master class de haut vol 

Guy Udriot et ses complices ont réussi le tour de force de réunir des intervenants prestigieux. Franck Giovannini quifait perdurer la légende de Crissier et qui vient d’être sacré cuisinier de l’année 2018 par Gault et Millau, mais aussi Yu Hui Tseng de la Maison des Trois Thés à Paris et dont les capacités à déguster et à décrire un thé sont recherchées par les plus grandes maisons, et encore notre incomparable Dominique Fornage, fondateur de l’Ecole Nobilis, dont le palais est sollicité notamment par Christie’s, pour évaluer et commenter les meilleurs crus de la planète. Un tel panel promet une master class d’exception et Guy Udriot ne manque pas d’ambition. «Nous proposons un nouvel abord de la gastronomie. Nous invitons les gens à sortir des sentiers battus, en osant des alliances encore peu usitées, par exemple en accompagnant un menu avec du thé, car les sensations gustatives sont alors extraordinaires et le thé et le vin ont beaucoup plus de points communs qu’on ne l’imagine. Tant dans leur élaboration que dans la dégustation. Un thé se perçoit comme un grand cru, ses variétés multiples (il y en a plus de 3000) peuvent se comparer aux cépages…»

Cet article peut être lu dans son intégralité dans notre supplément «Terroirs» de jeudi 6 septembre.

Cliquez sur le journal ci-dessous.

 

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