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Lionel Fournier, à deux doigts du paradis

Le comédien de Nendaz présente sa première création en solo dès jeudi au Raccot à Monthey. «12, rue du Paradis» marque une étape dans une carrière théâtrale prête à décoller.

26 oct. 2019, 12:00
Dans «12, rue du Paradis», Lionel Fournier a opté pour un décor minimaliste magnifiant le texte.

C’est dans un hôtel désaffecté à la «Shining», non loin de Finhaut, que Lionel Fournier a pensé son premier seul en scène. Le nom de la bâtisse vermoulue, l’Eden, lui a directement inspiré le titre de sa création «12, rue du Paradis» qui sera jouée au Théâtre du Raccot à Monthey du 31 octobre au 3 novembre. «Découvert fortuitement par le biais d’une connaissance, ce lieu m’a littéralement happé au point que j’ai passé un mois sur place.»

C’était en août 2018 dans le hameau du Giétroz. Le jeune homme de bientôt 26 ans expérimente de plein fouet la notion d’enfermement, aussi bien physique que mental, qu’il va traduire en mots. Une histoire couchée rapidement sur papier, quasiment en un jet. «Je n’ai fait que la fignoler ensuite», précise le Nendard d’origine à l’aube d’une résidence de trois semaines dans le quartier culturel de Malévoz. Le pitch? L’auteur reste volontairement...

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