Lorsque l’on pénètre dans L’Avocat Studio de Martigny, un atelier de peinture où officie un collectif d’artiste sous la houlette de Cécile Giovannini, professeure à l’EPAC, le doute n’est plus permis.
Dans un décor au charme désuet, des toiles à peine achevées s’empilent çà et là, une odeur de peinture mêlée à celle de la térébenthine flotte dans l’air et c’est dans ces lieux propices à la création que David Fernandes a fourbi ses pinceaux et aiguisé ses crayons.
«J’ai fait l’EPAC de Saxon et durant cette formation, j’ai eu la chance de rencontrer Cécile Giovannini, une professeure avec qui je me suis tout de suite bien entendu au niveau du travail et amicalement aussi. Elle m’a pris sous son aile et m’a invité à rejoindre son atelier, L’Avocat Studio à Martigny. Et c’est ici que j’ai fait mes premières armes, mes premières expositions. En fait, c’est ici que tout...