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Les cent jours de Bérengère Primat à la tête de la fondation Opale à Lens

La mécène du Haut-Plateau a passé ses cent premiers jours à la tête de la fondation Opale à Lens. Celle qui chérit l’art aborigène l’assure, elle est là pour longtemps. Interview.

29 mars 2019, 12:00
Bérengère Primat entend faire rayonner l'art aborigène loin à la ronde depuis sa fondation Opale où flotte désormais le drapeau des Aborigènes.
Son parcours

17 janvier 1973: naissance à Neuilly-sur-Seine dans une famille de riches industriels français (les Schlumberger).
Diplômée de l’Ecole hôtelière de Lausanne.
Il y a quinze ans, découverte de l’art aborigène par l’entremise de son ex-mari, peintre et galeriste à Paris.
2011: installation sur le Haut-Plateau avec sa famille.
2014: décorée de la croix de chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres pour avoir poursuivi l’œuvre de sa famille dans la préservation du patrimoine et la promotion de la vocation scientifique.
Vice-présidente du Régent Crans-Montana College.
Fin mai 2018: reprise de la fondation Arnaud rebaptisée fondation Opale.

Avec votre première double exposition Yann Arthus-Bertrand/Robert Fielding, vous avez touché dans le mille…

Oui, c’est un vrai succès. On espérait 30 000 visiteurs par an, on en est déjà à la moitié après trois mois d’ouverture, on est très heureux. Mais au-delà des chiffres, ce qui importe c’est...

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