Leoni Preston à la conquête de l'ouest

Le projet était né comme un duo, aimanté par un goût commun pour les mots qui touchent juste et les notes qui sonnent vrai. Fred Beltrando à l’écriture et au chant et Roland Sprenger au piano et à la composition. Et depuis l’album «Marre d’aimer» sorti en 2013, le binôme a attiré dans son champ de gravité le batteur Eloi Fournier et le guitariste Nicolas Fardel, déjà présents dans les arrangements du premier opus. «Comme nous sommes devenus un groupe, nous avons estimé qu’il était plus adéquat de changer de nom», explique Roland Sprenger.
Ce nom, Leoni Preston, exprime assez bien l’ambition artistique du nouvellement quatuor, à savoir ciseler des chansons dont les mélodies évoluent dans des climats forcément francophones, mais avec quelques envies de migration de l’autre côté de l’Atlantique, vers les terres qui ont vu naître le jazz et le rock.

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