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Le discret Francis Cabrel charme le Zermatt Unplugged

Ils sont nombreux à être venus de Suisse romande jusqu'au pied du Cervin pour écouter le chanteur d'Astaffort. Des fans aussi discrets et réservés que leur idole, mais extrêmement fervents, ravis d'entendre le chanteur dans le confort intime du festival.

11 avr. 2019, 05:30
Accordéon ou piano, contrebasse, guitares... l’habillage est aussi dépouillé que possible et la beauté, la préciosité des textes n’en sont que plus évidentes.

Le président et cofondateur du Zermatt Unplugged l’avait confié dans une interview donnée au «Nouvelliste» en 2013. Son rêve, depuis la création du festival, était de faire grimper jusqu’au Matterhorn le discret et exclusif Francis Cabrel. Et après six années d’efforts, Thomas Sterchi a vu son fantasme artistique se concrétiser. L’auteur de «Petite Marie», «Sarbacane» ou «La corrida» était enfin là, ce mercredi 10 avril, sous le chapiteau.

Reste que programmer un artiste francophone, aussi connu soit-il, en tête d’affiche d’un rendez-vous tout de même majoritairement germanique peut surprendre. «Détrompez-vous, énormément de Suisses alémaniques l’adorent, c’est une star reconnue, et pas seulement en francophonie», rectifie le boss. «Pour ma part, je l’ai découvert quand je vivais à Villars-le-Grand il y a des années. Sa musique a accompagné beaucoup de belles promenades dans la campagne vaudoise.»

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