Entendu à la sortie du Théâtre de Valère, à la fin d’une première menée tambour battant: «A Genève, c’est plus dur de faire un truc pareil. Ils font quand même moins de conneries...» Malgré les affaires Barazzone et Maudet, il est vrai qu’à la lumière de cette troisième «Revue à nous», il n’y a pas photo. Le Valais mène au score de très loin niveau scories politiques et publiques.
Une fois encore, l’année a donc été généreuse et pour la paire Recrosio/Mudry, le tri s’est avéré difficile. «Le spectacle dure une bonne heure et demie et on avait au moins autant de matière qu’on a écartée», expliquait l’humoriste avant le lever de rideau, alors que le public se pressait déjà dans la toute nouvelle tente pour déguster le verre offert par la Revue et les lasagnes terroir préparées et servies par Inchiè’No et les jeunes du centre Oriph. Et, aussi,...