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«Ce que j’aime à Bluche et à Randogne, c’est…»

Stéphanie Bonvin-Jilg s’investit beaucoup dans son village mais aussi à Randogne «qui ont toujours été liés». Découvertes au menu.

10 mars 2020, 15:00
Stéphanie Bonvin-Jilg a grandi à Bluche.

Stéphanie Bonvin-Jilg aime le partage et la convivialité. Elle officie depuis six ans comme présidente d’Anim’Randogne Bluche. «Les deux villages ont toujours été liés avec la même commune, la même école, la même église qui sont à mi-chemin et les relient.» Pour cet engagement au service de la population, elle a reçu l’an dernier le mérite culturel de la commune de Crans-Montana. Cette responsable de la bibliothèque intercommunale située au Scandia souhaiterait encore développer les échanges entre les résidants.

Qu’est-ce qui fait la richesse de votre village?

Bluche est un petit village mais il est cosmopolite avec plus de 80 nationalités représentées grâce à l’Ecole des Roches. Surtout, il est vivant, il y  a toujours du passage sur la rue principale. On peut également se vanter d’avoir plusieurs restaurants. Un italien, un japonais, un chinois, un de cuisine internationale, un établissement gastronomique et un valaisan bien sûr.

Un endroit ou une curiosité que vous aimez faire découvrir?

La ferme des Trontières de la famille Berclaz. Elle domine le village de Randogne avec une vue incroyable sur la forêt de Finges et le Haut-Valais. J’apprécie tous ses produits du terroir et je m’y approvisionne régulièrement. Je vous recommande par exemple sa tomme et son fromage à raclette disponible 24 heures sur 24 dans le distributeur. On peut aussi y choisir des pommes de terre et des cornichons.

Le bistrot dans lequel vous vous rendez à l’heure de l’apéritif?

Le Petit Paradis. C’est pratique, il est situé à quelques mètres de ma maison. J’apprécie venir y manger aussi. De plus, il existe depuis plus d’un demi-siècle.

 

 

Un lieu pour vous ressourcer?

Sans hésiter, je vous dis le chemin de Crételles qui relie Bluche à Randogne. Ce cheminement a peu changé depuis mon enfance et il est en plus peu fréquenté par les voitures. Je l’emprunte souvent et je le conseille à tous. C’est vraiment une très jolie promenade à faire.

La manifestation qui vous plaît?

Le Dizou qui signifie jeudi dans le patois de Randogne. C’est en réalité un rendez-vous qui a lieu chaque premier jeudi du mois dans une salle de l’ancienne école. Depuis ses débuts en 2014, il n’y a eu aucune interruption. Par conséquent, il compte 70 éditions. Il accueille des amateurs de jass et d’autres jeux de cartes. A chaque fois, vingt à trente habitants se retrouvent pour un après-midi convivial qui se termine autour d’un verre et de gâteaux maison.

Ce que vous voudriez voir évoluer ou aboutir?

Je souhaiterais que toutes les générations s’impliquent dans la vie des villages. Aujourd’hui, les enfants et les seniors sont dynamiques. Ce sont les 25 à 60 ans qui ont du mal à s’investir.


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