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Beigbeder retourne aux sources

Frédéric Beigbeder signe un nouveau roman sur le transhumanisme. «Une vie sans fin» est un cocktail d’autofiction, de science, et de jus d’épinards. En 2018, le fêtard a viré sa cuti et ne veut pas mourir.

16 janv. 2018, 00:01
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Frédéric Beigbeder est décidément un homme de son temps. Après avoir critiqué la publicité dans «99 francs», donné un bon coup de canif dans le mariage avec «L’amour dure trois ans», et flirté avec les chasseurs de mannequins prépubères dans «Au secours pardon», bref, disséqué notre société de consommation, son culte de l’image et de la jeunesse, l’auteur béarnais s’attaque à la mort.

C’est que Frédéric Beigbeder est né en 1965, qu’il a dépassé la cinquantaine, et qu’après avoir attrapé une réputation de noceur et fait jaser pour avoir sniffé de la cocaïne sur un capot de voiture en 2008, il a pris de la bouteille et s’est soudain aperçu que la mort n’est pas une fiction. L’auteur people, bien décidé à s’élever au-dessus du commun des mortels, refuse d’accepter son destin biologique. «Une vie sans fin» est le récit de ce combat pas ordinaire mais tout à fait...

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