Jeu d’aventure en équipe, mur de grimpe intérieur, simulateur de chute libre, zoo alpin, escape game ou parc à thème: à l’enseigne de FunValley, une vingtaine de centres de loisirs valaisans ont uni leurs forces et leurs compétences pour créer ce qu’ils qualifient rien de moins que de plus grand parc d’attractions du monde.
«Pendant le semi-confinement, nous avons cherché une idée pour relancer autant que faire se peut notre activité afin d’attirer de nouveaux visiteurs. Avec le recul, on peut dire que la formule a porté ses fruits et que la variété qui nous caractérise a permis à chacun d’entre nous de vivre une période estivale extrêmement positive», souligne Benoît Eberlé, cofondateur de Trapgame à Charrat, où la fréquentation de la saison a été supérieure à celle de l’année dernière, «ce qui est fort réjouissant».
Pour les petits comme pour les grands
La vocation de FunValley est de proposer des animations tout public et estampillées «familles», placées sous le signe de la diversité. «Lorsque les plus petits s’amuseront chez HappyLand à Granges ou au Western City à Martigny, les plus grands pourront vivre une palpitante aventure chez Trapgame à Charrat, découvrir les sensations de la chute libre indoor chez RealFly à Sion ou encore s’essayer au sport extrême avec, entre autres prestations, le saut à l’élastique chez Bungy Niouc», indique Florian Carron, codirecteur chez HappyLand.
10% de rabais
Dès leur première visite dans l’un des parcs de loisirs engagés dans l’opération, les joueurs reçoivent une carte FunValley qui leur donne droit à un rabais de 10% dans toutes les autres activités proposées. Et pour un choix encore plus vaste d’animations, un partenariat a été conclu avec le Passeport valaisan.
«Cette collaboration permet aux détenteurs de la carte FunValley de commander un Passeport valaisan avec 10% de rabais et d’accéder ainsi aux activités proposées par cette prestation», ajoute Benoît Eberlé.
FunValley est en phase de test jusqu’à la fin de l’année. «A ce moment-là, nous dresserons le bilan de l’opération. Une réflexion sera menée et nous déciderons alors si l’expérience mérite d’être poursuivie ou non», observe Benoît Eberlé.