Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

A la découverte de Martigny, secrète et sacrée

L’historien de l’art Bernard Wyder emmène le lecteur à la découverte des trésors souvent méconnus du patrimoine artistique valaisan. Première halte au coude du Rhône.

15 août 2020, 12:00
La verrière d'Edmond Bille, réalisée en 1949, était la plus grande de Suisse à l'époque avec ses 55 mètres carrés de surface.

De l’extérieur de l’hôtel de ville de Martigny, rien ne laisse présager le choc visuel qui attend le visiteur une fois à l’intérieur du bâtiment. Peut-être, étant donné l’affectation institutionnelle du lieu, ceux qui s’y rendent ou y travaillent aujourd’hui n’y font pas plus attention que cela, mais il faut savoir que la verrière monumentale d’Edmond Bille, conçue en 1949 pour la restauration de l’édifice, fut à l’époque, avec ses 55 mètres carrés de surface, le plus grand vitrail profane de Suisse.

Spécialiste de la vie et de l’œuvre de l’artiste auquel il a consacré l’ouvrage «Edmond Bille: une biographie» en 2008, l’historien de l’art Bernard Wyder raconte la magnificence de l’œuvre, puis emmène le lecteur à la chapelle de la Bâtiaz, à la découverte des superbes ex-voto qui y sont accrochés aux murs. Des pièces patrimoniales qui disent beaucoup de la vie locale et des drames quotidiens vécus par...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias