Gérald Métroz
Passer de la vie d’avant à celle d’après. Homme de défis, Gérald Métroz l’avait déjà fait auparavant, à de multiples reprises. Enfant miraculé après avoir été fauché par un train, gardien de hockey, homme d’affaires… Mais ce changement-là, après avoir laissé derrière lui ses années fertiles d’agent de sportifs professionnels, c’était vraiment la voie du cœur. Et la voix intérieure. Celle qu’il poussait volontiers à l’occasion, en chantant des reprises, en s’accompagnant à l’accordéon. Tout lâcher et se consacrer à sa passion. Voilà un bien beau challenge à relever.
C’est d’abord par la sortie test d’un premier EP de compositions personnelles sobrement intitulé «On» qu’il est arrivé sur la scène. Un moment charnière. «C’est vrai que le vernissage au Théâtre Alambic de Martigny a été incroyable. Deux soirs à guichets fermés, on y prend goût», sourit le chanteur.
Y prendre goût, et continuer. Gérald Métroz vient de publier...