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Le rêve birman du cinéaste valaisan Raphaël Blanc

Le réalisateur et producteur d’Ayent sort un documentaire sur un joyau naturel birman. Un film qui prend un autre éclairage après le récent coup d’État militaire.

14 juin 2021, 20:00
C'est toute jeunesse et la population de la région du lac Inle qui sont mobilisées contre la pollution.

Il aurait pu devenir missionnaire en Bolivie. Par amour des voyages et pour aller à la rencontre de l’autre. Finalement, c’est caméra au poing que l’Ayentôt Raphaël Blanc «évangélise». Sans tomber dans le prosélytisme toutefois. Connu pour ses portraits filmés d’Ella Maillart (succès dans les salles obscures avec plus de 20 000 entrées en 2017) ou d’Hans Erni, le cinéaste braque cette fois-ci sa caméra sur un joyau du Myanmar, le lac Inle, surface étale de 12 000 hectares à l’est du pays. Un sanctuaire vert menacé par les maux d’un XXIe siècle aux accents de fin du monde: pollution, déforestation, agriculture intensive, surtourisme.

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«J’ai découvert l’endroit par des amis proches. Ils m’ont parlé de l’ambition d’une partie de la jeunesse locale de préserver son lac menacé dans sa biodiversité par les...

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