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«Une balle dans le pied»

Trois poids lourds économiques de Suisse (Bâle-Ville, Genève et Zurich) veulent davantage de main-d’œuvre non européenne.

29 août 2017, 23:17
/ Màj. le 30 août 2017 à 00:01
WIR STELLEN IHNEN HEUTE, DONNERSTAG, 4. FEBRUAR 2016, FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR ARBEIT DES SWISS VITAMIN INSTITUTES ZUR VERFUEGUNG --- An employee transfers the fluid to be examined with a spray bottle into a volumetric flask and afterwards converts it into an analysable form of the vitamin to be evaluated by use of hydrolysis, pictured at the Swiss Vitamin Institute in Lausanne, canton of Vaud, Switzerland, on September 24, 2015. The Swiss Vitamin Institute, which was founded in 1931, analyzes vitamins in food, pharmaceuticals, cosmetics and biological samples for medical diagnostics of vitamins. (KEYSTONE/Gaetan Bally)
 SCHWEIZ LAUSANNE SWISS VITAMIN INSTITUTE

Les cantons de Genève, Bâle-Ville et Zurich exigent, comme l’année passée, un relèvement du contingent de main-d’œuvre qualifiée en provenance des Etats tiers. Les permis de courte durée B et L admis par la Confédération étaient déjà épuisés en février à Genève et Bâle, en avril à Zurich. Les trois cantons, qui disent parler au nom des 26, demandent un relèvement au niveau qui prévalait jusqu’en 2014, soit 8500 permis.

Les permis B et L pour les spécialistes en provenance d’Etats tiers sont surtout attribués dans des domaines tels que sciences du vivant, secteur bancaire et financier, informatique ou encore innovation digitale. Ils sont en majorité américains dans le canton de Genève, indiens à Bâle.

Selon le PLR Pierre Maudet, qui s’est présenté, hier, en tant que ministre de l’Economie genevoise et non en tant que candidat au Conseil fédéral (voir ci-contre), «la réduction du contingent décidée en 2015, pour...

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