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Trop de pouvoir pour les détectives

Le comité contre la surveillance des assurés dénonce une information partiale. Il porte plainte.

25 juil. 2018, 00:01
Autorin Sibylle Berg, links, und Dimitri Rougy, rechts, vom Referendumskomitee an der Auftaktveranstaltung zum Referendum gegen das Gesetz zur Überwachung von Versicherten der Sozialversicherungen, am Donnerstag, 05. April 2018 auf dem Waisenhausplatz in Bern. Das Komitee hat bis zum 05. Juli 2018 Zeit um die benoetigten 50'000 Unterschriften zu sammeln. (KEYSTONE/Adrian Reusser) SCHWEIZ REFERENDUM DETEKTIVE SOZIALHILFE

c’est la première escarmouche de campagne mais elle est particulièrement précoce. Le comité référendaire contre la nouvelle loi sur la surveillance des assurés a ouvert les feux lundi, bien avant la votation qui aura lieu le 25 novembre. Il vient de porter plainte contre l’Office fédéral des assurances sociales (Ofas) et la Suva. Il les accuse de faire de la désinformation sur leurs sites web en prétendant que la police et les détectives engagés par les assureurs joueront à jeu égal.

Dimitri Rougy, membre du comité référendaire, a confirmé, hier, cette information de la «Neue Zürcher Zeitung». Pour des raisons juridiques, la plainte a été déposée auprès du Conseil d’Etat zurichois, mais s’il se déclare incompétent, comme c’est souvent le cas dans ce genre d’affaire, il appartiendra au Tribunal fédéral de trancher.

Lacune légale comblée

La nouvelle loi sur la surveillance des assurés a pour but de permettre, à...

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