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Où s’arrêtera la chute de l’empire Drahi?

Le magnat franco-israélien des télécoms est dans la tourmente. Son groupe, Altice, a perdu plus de la moitié de sa valeur en bourse.

24 nov. 2017, 23:33
/ Màj. le 25 nov. 2017 à 00:01
epa06043671 Patrick Drahi (C), the founder of Altice, pretends to hit himself in the head with a mallet after ringing a ceremonial bell during the initial public offering of Altice USA, a cable and telecommunications company, while standing with Thomas W. Farley (L), the President of the NYSE, and other members of the company's leadership on the floor of the New York Stock Exchange in New York, New York, USA, 22 June 2017. The company raised an estimated 1.9 billion dollars with the initial public offering.  EPA/JUSTIN LANE USA NEW YORK ALTICE IPO AT NYSE

Une véritable descente aux enfers. C’est ce que subit l’entreprise française Altice depuis le début du mois de novembre. Le groupe de télécoms, côté à la bourse d’Amsterdam, a vu son cours s’effondrer de plus de moitié, passant de 16 euros à 7,5 euros à la fin de cette semaine.

En cause, les résultats décevants de SFR, la pépite hexagonale du groupe: au troisième trimestre, l’opérateur au carré rouge a vu ses ventes reculer de 1,3%, à 2,76 milliards d’euros. SFR a le plus grand mal à enrayer la chute du nombre de ses abonnés mobile. Ils sont 1,5 million à avoir quitté le groupe depuis son rachat par Altice, fin 2014.

Au-delà des difficultés de SFR, c’est toute la stratégie développée par le propriétaire d’Altice, le magnat franco-israélien Patrick Drahi, qui est désormais dans le viseur des marchés. Longtemps, ce diplômé de l’Ecole polytechnique, aujourd’hui âgé de 54...

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