Bradley, près de Durham, a cessé son activité, la semaine dernière, peu après les sites de Shotton et Brenkley, affiliés au même propriétaire, Banks Group, qui déplore «la fermeture de la dernière mine de charbon en Angleterre», et affirme que jusqu’à 250 emplois sont menacés.
La fin de vie de Bradley a été saluée par les défenseurs de l’environnement, après des mois de pressions et des manifestations, notamment de la part d’Extinction rebellion, pour empêcher le maintien du site jusqu’en 2021, comme l’a demandé, en vain, Banks Group aux autorités britanniques.
Celles-ci mettent en avant que le site de Hartington, également dans le nord de l’Angleterre, près de Sheffield, subsiste, même si son envergure n’est pas comparable avec ceux de Banks, et qu’il reste quelques petites mines souterraines ailleurs en Angleterre. Quelques mines demeurent également «au Pays de Galles et en Ecosse», fait valoir un porte-parole de Banks Group...