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Millésime désastreux pour l’huile tessinoise

Intempéries, insectes et cervidés ont eu raison de la récolte.

21 nov. 2019, 00:01
Olivenlese im Olivenbaumpfad am Hang des Monte Bre in Gandria oberhalb des Lago di Lugano (Luganersee), aufgenommen am 26. Oktober 2013. Der Pfad fuehrt durch eine Landschaft, in dem zwischen den Resten antiker Olivenhaine junge Olivenbaeume neu angepflanzt worden sind. Von den insgesamt 150 Olivenbaeumen konnten dieses Jahr rund 600 Kilogramm Fruechte geerntet werden, 40 Prozent mehr als im Vorjahr. Die daraus gewonnenen 50 Liter Olivenoel sollen dann spaeter auf dem Markt von Gandria verkauft werden. (KEYSTONE/Ti-Press/Gabriele Putzu) SCHWEIZ OLIVENLESE

Cette année a été catastrophique pour les olives au Tessin. Sonvico, le plus connu des deux pressoirs du canton, a reçu 126 kg d’olives et a produit à peine neuf litres d’huile. Il s’agit du pire millésime depuis 2008, selon l’Association des amis des olives, qui compte plus de deux cents membres. Déjà que, dans des années normales, seuls 2 à 3% des fleurs restent aux arbres et produiront des fruits, explique son président, Claudio Premoli, les arbres ont cette année fait face à de nombreuses plaies.

Dans certaines zones du canton – qui compte entre 3000 et 4000 oliviers –, de fortes tempêtes, en avril, ont endommagé les arbres, faisant tomber de nombreuses fleurs. «Le peu qui a tenu le coup ne s’est pas aussi bien développé qu’on l’aurait souhaité. En plus, la qualité des olives n’était pas terrible», relate l’expert. Puis, il y a encore eu l’infestation...

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