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Les coupes de l’aide sociale décriées

Outre Berne, une poignée de cantons alémaniques souhaitent ne plus suivre les normes CSIAS. Pas Zurich.

13 avr. 2018, 00:01
ZUM MASSNAHMEPLAN DER SKOS ZUR BEKAEMPFUNG DER ARMUT STELLEN WIR IHNEN AM MONTAG, 4. JANAUAR 2010 FOLGENDES THEMENBILD ZUR VERFUEGUNG - Eine Junge Frau sitzt mit dem Portemonnaie in der Hand an der Tramhaltestelle an der Limmatstrasse in Zuerich, im Dezember 2009. (KEYSTONE/Gaetan Bally) *** NO SALES, NO ARCHIVES *** SCHWEIZ ARMUT SKOS

L’aide sociale fait à nouveau débat en Suisse alémanique. Le canton de Berne a décidé d’en réduire les montants, s’écartant ainsi des normes de la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS). Celui de Zurich, en revanche, les défend dans un projet de loi qui intègre aussi la possibilité de surveillance d’éventuels fraudeurs à l’aide sociale. La CSIAS salue ce qu’elle considère comme un «signal fort».

Les normes CSIAS, qui déterminent, pour tous les cantons, les montants de l’aide sociale, sont un élément essentiel de la refonte de l’aide sociale du canton de Zurich, a souligné, hier, le conseiller d’Etat socialiste Mario Fehr, responsable du dossier. Or, après une phase de contestation il y a quelques années, puis une révision, ces normes font l’objet de nouveaux coups de boutoir. Fin mars, le Grand Conseil bernois a adopté une révision qui, selon les cas, coupe l’aide sociale de 8% à...

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