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Le plan B des partisans de «No Billag»

En cas d’abandon de la redevance radio-TV par le peuple, l’Union suisse des arts et métiers esquisse une solution pour le service public.

10 janv. 2018, 00:01
Die letzte Billag Rechnung fuer das Jahr 2018, aufgenommen vor einem Fernseher in Zuerich am Dienstag, 9. Januar 2018. (KEYSTONE/Walter Bieri) SCHWEIZ BILLAG RECHNUNG

Le voici, le «plan B» présenté par les partisans de l’initiative «No Billag». L’Union suisse des arts et métiers (Usam) a esquissé hier les grandes lignes d’un nouveau financement de la SSR, au cas où le peuple acceptait de supprimer la redevance radio-TV le 4 mars.

D’après Hans-Ulrich Bigler, directeur de la faîtière des PME, «on ne peut pas forcer les consommateurs à regarder ce qu’ils ne veulent pas». Dans son viseur: la redevance audiovisuelle, qui deviendra obligatoire dès 2019, et qui donne accès à un programme défini.

Quelques subventions?

Joignant le geste à la parole, le conseiller national (PLR, ZH) soumet une proposition de financement de la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR), au cas où «No Billag» gagnait dans les urnes – ce que les sondages pronostiquent. Le groupe audiovisuel récolterait environ un milliard annuellement, se rapprochant du budget actuel d’environ 1,2 milliard.

«Selon le rapport...

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