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«Le ciel s’est encore assombri»

Président de Gastrosuisse, Casimir Platzer veut revenir à la charge pour faire rouvrir les établissements publics.

18 avr. 2020, 00:01
Blick auf das Hotel Atlantis, aufgenommen am Dienstag 14. April 2020 in Zuerich. Das Fuenf-Sterne-Hotel plant eine Schliessung wegen der Kostenstruktur und die wegen der Corona-Krise sich rasch verschlechternde wirtschaftliche Situation. (KEYSTONE/Ennio Leanza) SCHWEIZ CORONAVIRUS HOTEL ATLANTIS

Selon le poète chilien Luis Sepulveda, récemment décédé, l’homme a vu sa peur diminuer lorsqu’il a pu s’orienter grâce aux étoiles brillant dans la nuit. Ce n’est pas le cas des hôteliers-restaurateurs suisses, frappés de plein fouet par les mesures de fermeture ordonnées par le Conseil fédéral à cause du Covid-19. Les étoiles, ou plutôt les lueurs d’espoir, que devait leur apporter, jeudi, le Conseil fédéral ne se sont pas allumées. Bien au contraire. Comme l’ont fait savoir Simonetta Sommaruga et Alain Berset, la branche doit attendre.

Mais jusqu’à quand? A Kandersteg (BE), Casimir Platzer, président de Gastrosuisse, gardera encore longtemps fermés les volets du Belle Epoque Hôtel Victoria, dont il est propriétaire. Mais il organise la riposte. Entretien.

Comment vivez-vous ce confinement qui n’en finit pas pour la restauration?

Plutôt mal, même si mon établissement est habituellement fermé jusqu’à la mi-mai. A pareille époque, je l’ouvre sporadiquement pour...

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