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L’humanitaire en mode virus

Le coronavirus oblige les acteurs de l’aide au développement à revoir leurs projets.

04 avr. 2020, 00:01
epa000455118 DEBT RELIEF SENEGAL

(FILES) Senegalese woman carrying children on their backs lift a bucket of salt from a boat to carry it ashore at Lac Rose (Pink Lake) in Senegal, Thursday 24 February 2005. Senegal is one of the 18 nations that will with immediate effect benefit from the total debt relief that was decided Saturday 11 June 2005 at the finance ministers meeting of the seven leading industrial nations and Russia in London. Under the plan, 14 of the poorest nations in Africa--Benin, Burkina Faso, Ethiopia, Ghana, Madagascar, Mali, Mauritania, Mozambique, Niger, Rwanda, Senegal, Tanzania, Uganda and Zambia--and four in Latin America--Bolivia, Guyana, Honduras and Nicaragua--would be allowed to cancel out their debts.  EPA/NIC BOTHMA SENEGAL DEBT RELIEF

L’épidémie de coronavirus continue de frapper la Suisse, sa population et ses hôpitaux. Mais, comme on le sait, notre pays ne fait pas exception dans le monde. La maladie Covid-19 s’est propagée dans de nombreux pays, souvent moins bien dotés en infrastructures sanitaires. Face à la crise, la coopération suisse au développement se mobilise.

«La politique extérieure suisse assure sa contribution, même si elle a souvent lieu en coulisses», illustrait, hier, devant la presse, le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis. Berne travaille actuellement sur différents axes. La Direction du développement et de la coopération (DDC) a déboursé 18 millions de francs pour, entre autres, les institutions de l’ONU (dont l’Organisation mondiale de la santé) et le Mouvement international de la Croix-Rouge. Et 40 millions ont été réaffectés en faveur du domaine de la santé et pour renforcer la résistance économique des pays en développement.

«De manière générale, tous...

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