Des pubs plein les vitrines, dans la rue, sur le net, dans votre boîte mail et même par SMS... Si vous n'avez pas été submergé par un flot d'offres cette semaine, c'est que vous vivez dans une grotte, sans réseau.
Depuis que la tradition du Black Friday tente de s'immiscer en Europe, les réactions divergent. Certains attendent impatiemment ce jour, à l'affût de la meilleure affaire, et prennent d'assaut, le cœur battant, les magasins noirs de soldes.
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Les autres, faussement impassibles, subissent tant bien que mal cette effervescence oppressante qui ravive l'urgence des achats de Noël.
Sur la Toile, une grande partie des tweets francophones postés sous le hashtag #BlackFriday sont réfractaires au phénomène.
La plupart dénoncent la marée commerciale à l'approche de ce jour:
Certains tournent en dérision le phénomène:
Il y a ceux qui sont tentés, mais tiennent le coup:
Et puis il y a ceux qui aimeraient bien, mais qui ne peuvent pas. Un 24 novembre, ce n'est pas jour de paie pour tout le monde.
Mais il faut surtout penser aux vendeurs et vendeuses qui doivent faire face à l'afflux de clients plus ou moins impatients ce jour-là.
Pour voir ce qu'il en est en Suisse, le Nouvelliste est allé filmer vendredi matin l'ouverture d'un centre commercial valaisan: