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Après Ford et General Motors, Trump s’attaque à Toyota

Le futur locataire de la Maison-Blanche a menacé de représailles douanières le géant japonais s’il poursuivait son objectif d’investir au Mexique.

06 janv. 2017, 23:37
/ Màj. le 07 janv. 2017 à 00:01
epa05700374 View of the facade of one of the facilities of the automotive company Toyota in Mexico City, Mexico, 05 January 2017. US President-elect Donald Trump threatened Toyota on 05 January with tariffs if the Japanese manufacturer builds a new vehicle assembly plant in Guanajuato, Mexico. In response to Trump, Toyota said that the construction of a new vehicle assembly plant in Mexico did not affect the production or employment at its facilities in the United States.  EPA/Sashenka Gutierrez MEXICO USA TOYOTA

Cédera, cédera pas? Après Ford, c’est au tour de Toyota d’être dans le viseur de Donald Trump. Celui qui a été élu en novembre sur la promesse de rapatrier les emplois aux États-Unis s’est frontalement attaqué au géant de l’automobile japonais. Le fait incriminé? Vouloir construire une usine au Mexique pour y fabriquer des voitures destinées au marché américain. Inconcevable pour le futur locataire de la Maison-Blanche qui l’a directement menacé de représailles douanières s’il ne change pas d’avis.

Et c’est à nouveau par un tweet rageur que le président élu s’en est pris au numéro un mondial de l’automobile: «Toyota Motors a dit vouloir construire une nouvelle usine à Baja au Mexique, pour produire des Corolla à destination du marché américain. PAS QUESTION! Construisez des usines aux États-Unis ou payez d’importantes taxes à la frontière», lance-t-il.

Quelques heures après la publication du tweet, l’action Toyota chutait de 3,1%...

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