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Claude Dussez, entre ombre et poussière

A l’occasion de la Nuit des musées, le photographe a verni «LOST», un livre de photographies de l’Ouest américain, pendant imaginaire du film iconique «Easy Rider», présenté à la Maison du Diable.

10 nov. 2019, 19:00
Star Motel, Las Vegas, 2016.

Tout commence par des photos de vacances. Cela peut paraître simple, voire simpliste, mais quand ces photos sont réalisées par Claude Dussez, ce n’est plus à des souvenirs de vacances auxquels nous sommes conviés mais à un véritable voyage initiatique, à une découverte inédite, à une plongée historique dans un univers, peut-être, maintes fois décrit, maintes fois imaginé, mais sans la force de frappe du photographe qui, ici, délivre un ouvrage incontournable pour tous les aficionados des grands espaces américains.

«A l’origine, tout part de photos de vacances. Je suis allé à deux reprises aux Etats-Unis, j’y ai fait des photos, avec ma sensibilité et ma manière. Avant, j’avais fait énormément de photos pour des festivals et, à la longue, je me suis heurté à une sorte de limite dans le sens où ça devient très compliqué. Tu passes plus de temps à obtenir les autorisations qu’à faire des photos....

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