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A Ayent, le Conseil général va saisir l’autorité de surveillance pour dénoncer son exécutif

Un postulat demandant une étude sur les possibilités de fusion a été accepté par le Conseil général, mais l’exécutif ne l’estime pas «judicieux» et classe le dossier. Le législatif annonce saisir l’autorité de surveillance.

03 janv. 2020, 17:00
Le conseil général accuse l'exécutif d'outrepasser ses droits.

Il n’y aura pas d’étude sur la fusion. Et ce, en dépit d’un postulat accepté en mars 2018 par le législatif ayentôt. Ce postulat, contraignant, demandait alors au Conseil communal de plancher sur «les possibilités de fusion, tant avec les communes qui se trouvent à l’est d’Ayent qu’avec la commune avec laquelle nous partageons le barrage du Rawyl». Et l’ouest, aussi.

Dans le viseur des libéraux-radicaux, dépositaires du texte, les municipalités de Grimisuat, Arbaz, Icogne et Saint-Léonard. «Nous voulons que la commune détermine les conséquences d’une fusion sur la dette par habitant, les impôts et les terrains à dézoner», explique Mélanie Follonier, cheffe du groupe PLR. «Nous proposons également de mener une analyse des synergies possibles entre les pompiers, les écoles et la police.»

Reste qu’un tel examen ne convainc pas l’exécutif. «A ce stade, une étude approfondie commandée par la commune d’Ayent n’a pas été jugée judicieuse par le...

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