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Raymond Borgeat, président du Centre gauche-PCS: «Le PS a intérêt à ce que l’on continue d’exister»

Après avoir obtenu 1% des voix aux élections fédérales, le Centre gauche-PCS décidera mercredi soir s’il continue ou non d’être un parti politique lors d’une assemblée extraordinaire.

14 janv. 2020, 12:00
Raymond Borgeat: «Les membres auront le choix entre quatre scénarios possibles dont celui de la disparition du parti.»

Raymond Borgeat, avec 1% de voix aux dernières élections fédérales, vous avez laissé entendre que Centre gauche-PCS pouvait disparaître. Qu’en est-il?

Nos membres choisiront mercredi soir entre plusieurs scénarios. La dissolution du parti en fait partie, tout comme le statu quo, c’est-à-dire un partenariat avec le PS, avec des listes qui devraient s’appeler PS – CG-PCS et non plus AdG.

Donc votre avenir dépend aussi de la volonté du PS de confirmer un partenariat?

Oui, et à tous les niveaux politiques même si les sections communales restent autonomes. Mais je pense qu’il a intérêt à le faire, car si le parti est dissous, nos voix se partageraient entre le PS, les Verts et aussi une partie au PDC.

A quoi bon maintenir un parti qui ne pèse que 1,5% dans le Valais romand et qui n’existe pas sous cette forme dans le Haut?

Cette question est légitime et c’est aux...

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