Raymond Borgeat, avec 1% de voix aux dernières élections fédérales, vous avez laissé entendre que Centre gauche-PCS pouvait disparaître. Qu’en est-il?
Nos membres choisiront mercredi soir entre plusieurs scénarios. La dissolution du parti en fait partie, tout comme le statu quo, c’est-à-dire un partenariat avec le PS, avec des listes qui devraient s’appeler PS – CG-PCS et non plus AdG.
Donc votre avenir dépend aussi de la volonté du PS de confirmer un partenariat?
Oui, et à tous les niveaux politiques même si les sections communales restent autonomes. Mais je pense qu’il a intérêt à le faire, car si le parti est dissous, nos voix se partageraient entre le PS, les Verts et aussi une partie au PDC.
A quoi bon maintenir un parti qui ne pèse que 1,5% dans le Valais romand et qui n’existe pas sous cette forme dans le Haut?
Cette question est légitime et c’est aux...