On lui dit qu’au fond, la période ne pouvait pas mieux tomber pour lui. Présider le Grand Conseil avec beaucoup moins de devoirs de représentation officielle qu’à l’accoutumée. Le coronavirus épargnerait, en quelque sorte, à une personnalité réservée, la foule de la Fête de la châtaigne. De l’abricot. De l’amigne. Des moutons. Etc. Etc. «Pas du tout!» corrige Olivier Turin, qui succédera lundi matin au grand baillif Gilles Martin. «J’ai toujours beaucoup de plaisir à rencontrer de nouvelles personnes. C’est une facette de l’activité de politicien qui me convient tout à fait.»
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Passionné de papillons
Le vice-président socialiste de la commune ne cache toutefois pas sa facette solitaire. Lui qui est décrit comme calme et discret par les habitués des bistrots de Collombey-Muraz, où il se fait rare. «C’est vrai que...